« Night Watch » de Sabine Pigalle (Tirage de tête)

« Night Watch » de Sabine Pigalle (Tirage de tête)

460,00 

« Night Watch » de Sabine Pigalle

Texte de Bernard Garnier de Labareyre

Tirage de tête

Parution le 9 octobre 2017
64 pages sous couverture rempliée
Format : 24,5 x 33,5 cm

Tirage de tête limité à 12 exemplaires numérotés et signés par Sabine Pigalle, présentés sous étui et accompagnés d’une photographie originale signée par l’artiste : 460 €

La série de photographies de Sabine Pigalle intitulée « Night Watch » puise ses références chez les maîtres anciens des Renaissances allemandes, flamandes, italiennes : Giorgione, Cranach, Durer, Botticelli…

L’écriture onirique, éloignée de tout réalisme, cisèle des nus idéalisés et maniéristes qui règnent sur de sombres et lumineuses arcadies.
Dans cette évocation allégorique qui aurait pu être sous-titrée «Minuit dans le jardin du bien et du mal», Sabine Pigalle met en scène ces divinités païennes qui illustrent le conflit entre Eros et Thanatos, les pulsions secrètes de vie et de mort.

Des figures mythiques émergent alors de la nuit et des songes qui l’habitent : Vénus qui symbolise la fécondité, Lucrèce l’autodestruction, Eve l’ambivalence…

EAN: N/A Catégories : ,
000

« Night Watch » de Sabine Pigalle

Texte de Bernard Garnier de Labareyre

Tirage de tête

Paru le 9 octobre 2017
64 pages sous couverture rempliée
Format : 24,5 x 33,5 cm

Tirage de tête limité à 12 exemplaires numérotés et signés par Sabine Pigalle, présentés sous étui et accompagnés d’une photographie originale signée par l’artiste : 460 € 

La série de photographies de Sabine Pigalle intitulée « Night Watch » puise ses références chez les maîtres anciens des Renaissances allemandes, flamandes, italiennes : Giorgione, Cranach, Durer, Botticelli…

L’écriture onirique, éloignée de tout réalisme, cisèle des nus idéalisés et maniéristes qui règnent sur de sombres et lumineuses arcadies.
Dans cette évocation allégorique qui aurait pu être sous-titrée «Minuit dans le jardin du bien et du mal», Sabine Pigalle met en scène ces divinités païennes qui illustrent le conflit entre Eros et Thanatos, les pulsions secrètes de vie et de mort.

Des figures mythiques émergent alors de la nuit et des songes qui l’habitent : Vénus qui symbolise la fécondité, Lucrèce l’autodestruction, Eve l’ambivalence…

Sabine Pigalle

Sabine Pigalle est née à Rouen en 1963. Son travail se concentre sur la réinterprétation des mythes.
Histoire religieuse, mythologie, peinture primitive flamande et maniérisme sont à la fois source d’inspiration et matière première pour l’exploration artistique.
Sabine Pigalle produit des photographies hybrides, principalement dédiées à l’art du portrait, qui combinent contemporain et références à l’art antique. Elle est représentée à la galerie RX à Paris.