Les Dahlias sont rouge sang, de Arlette Farge

190,00 

Les Dahlias sont rouge sang, de Arlette Farge (2000)

Format 18 x 27,5 cm, 24 pages

Tirage de tête sur vélin d’Arches numéroté et signé par l’auteur, présenté sous coffret toilé et édité 25 exemplaires : 190,00 €

En regard d’images du film de Bruno Dumont, l’Humanité — grand prix du jury au Festival de Cannes 1999 — Arlette Farge donne à voir ici le corps social et physique de «l’humanité pauvre» (tel qu’il s’incarne, sans fard ni artifices, dans les rôles des acteurs de l’Humanité), là où il se tient, et depuis toujours, en fragile équilibre entre la violence et l’amour, les guerres et la bonté, «sur ce bord extrême où s’inaugure le politique et la fragilité des âmes». Dix planches hors-texte en quadrichromie.

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Description

Les Dahlias sont rouge sang, de Arlette Farge (2000)

Format 18 x 27,5 cm, 24 pages

Tirage de tête sur vélin d’Arches numéroté et signé par l’auteur, présenté sous coffret toilé et édité 25 exemplaires : 190,00 €

En regard d’images du film de Bruno Dumont, l’Humanité — grand prix du jury au Festival de Cannes 1999 — Arlette Farge donne à voir ici le corps social et physique de «l’humanité pauvre» (tel qu’il s’incarne, sans fard ni artifices, dans les rôles des acteurs de l’Humanité), là où il se tient, et depuis toujours, en fragile équilibre entre la violence et l’amour, les guerres et la bonté, «sur ce bord extrême où s’inaugure le politique et la fragilité des âmes». Dix planches hors-texte en quadrichromie.

Biographie :

Après le lycée Hélène-Boucher à Paris, elle fait des études de droit pour devenir juge des enfants, puis change d’optique et passe un DEA d’histoire du droit et des institutions. N’ayant pas de poste, elle part faire une thèse en 1969 à l’université de Cornell aux États-Unis où elle en présence des luttes des étudiants noirs pour leurs droits et du féminisme américain (en). De retour en France , elle s’engage dans la préparation d’un doctorat d’histoire moderne sur Le vol d’aliment à Paris au XVIIIe siècle, soutenu en 1974 sous la direction de Robert Mandrou, disciple de Lucien Febvre pionnier de l’histoire des mentalités. Elle se spécialise alors dans l’étude des milieux les plus pauvres de la capitale, travail qui vient appuyer les travaux de la chaire de la Révolution française de la Sorbonne et par l’Institut d’histoire de la Révolution française, dirigé par Albert Soboul.
Elle rejoindra par la suite le courant d’histoire révisionniste de la Révolution française, créé à partir de 1975 à l’EHESS par François Furet.
Avec son équipe de recherche du « groupe d’histoire des femmes », elle travaille par la suite sur les thèmes des identités populaires au XVIIIe siècle, des relations hommes-femmes et de l’écriture de l’histoire.

Bibliographie :

Du même auteur aux Éditions La Pionnière :

« Le Silence, le souffle » : voir ici.
« Les Passants » : voir ici.
« Comment vient une passion » : voir ici.
« La Capucine aime s’adonner aux premiers venus » : voir ici.
« Le hasard amoureux » : voir ici.